TONY ALLEN

AFROBEAT / NIGERIA

+ 1e PARTIE : ZIAD DAROUÈCHE
Warm-up : Betnwaar

Samedi 23 novembre
20h30

Lieu : Grande Salle
Ouverture des portes : 20h30
Début du concert : 21h
Adhérents : 17€ / Prévente : 20€ / Guichet : 23€

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TONY ALLEN

AFROBEAT / NIGERIA

Il était une fois, au Nigeria, un homme qui avec son compère Fela, tout simplement l’afrobeat inventa. Non vous ne rêvez pas, cet homme sera bel et bien là : Tony Allen, messieurs-dames. Et tant pis pour la rime en a.

Que dire qui n’ait déjà été dit sur ce grand monsieur ? Que sa signature rythmique est reconnaissable entre mille ? Qu’il a grandement contribué, au début des années 70, à créer un genre musical qui allait secouer l’Afrique entière et continue à électriser les scènes du monde entier ? Que loin de se reposer sur ses lauriers, Tony Allen continue à défricher, explorer, inventer ? Que Brian Eno dit de lui qu’il est sans doute le plus grand batteur ayant jamais vécu ? Que parmi ses très nombreux admirateurs et occasionnels collaborateurs, on compte des personnes telles que Sébastien Tellier, Damon Albarn, Flea ou Jeff Mills ? Tout ça, vous le savez déjà, on ne vous la fait pas…

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1e partie : Ziad Darouèche

M’GODRO – BLUES – ROCK / COMORES – LA RÉUNION

EN PREMIÈRE PARTIE DE TONY ALLEN

Bon sang ne saurait mentir, à ce qu’on dit… S’il y en a un qui peut confirmer l’adage, c’est bien Ziad Darouèche, fils et frère de musiciens, et valeur montante du blues rock comorien qui ne manque pourtant de hérauts ! Né à Mutsamudu (Anjouan), Ziad accompagne dès l’âge de 7 ans son père dans les toirab (concours de chants traditionnels), les mariages… Un apprentissage bien concret et déterminant pour la suite. En plus de développer sa pratique tant de la guitare que des percus et du chant, Ziad expérimente très vite l’alliage des rythmes ternaires du M’godro traditionnel avec ceux, binaires, des musiques afro-américaines : le blues et le rock, bien sûr, mais aussi une bonne dose de funk. Une alchimie incandescente à même de porter ses textes engagés, sa révolte parfois, exprimés en shikomori (sa langue maternelle) comme en français. Après un début de carrière à Madagascar à l’occasion de ses études, c’est désormais depuis La Réunion que Ziad Darouèche développe sa carrière. Sans rancune, les cousins ?!